Les vaccinations

 

 

Les vaccinations protègent votre enfant de maladies graves, voire même potentiellement mortelles. Depuis 2018, les onze vaccins fontamentaux sont devenus obligatoires.

 

Le calendrier français est différent de celui de beaucoup d'autres pays, ce qui peut constituer un problème pour les sujets non-français rentrant chez eux une fois leur activité professionnelle terminée en France. Parlez-en avec votre médecin.

 

Si vous venez d’un autre pays, continuer votre protocole de vaccination actuel est rarement un problème. Sachez qu’en France les médecins ne stockent pas les vaccins, mais que vous devez obtenir une prescription médicale (une ordonnance du médecin) et aller chercher vos vaccins directement dans une pharmacie.

  

Si vous avez des interrogations concernant la sécurité d’emploi des vaccins ou le nombre de vaccins administrés, adressez-vous au docteur Lovejoy.

 

 

DESCRIPTION DES VACCINS ET DES VACCINATIONS

 

 

 

 

Vaccin contre le VRS ou Virus Respiratoire Syncytial.

 

Il s'agit d'un nouveau vaccin, ou plus précisément, d'un anticorps monoclonal, remplaçant les anciennes injections de Synagis. Il est très efficace contre le VRS, une cause majeure d'hospitalisation au cours de la première année de vie, et même après pour certains nourrissons vulnérables. Il est disponible et gratuit en France à partir du 15 septembre 2023. Il est administré en une seule injection, principalement pour les bébés nés après le 3 février 2023. N'hésitez pas à demander une ordonnance au Dr Lovejoy.

 

COVID-19

 

Le vaccin contre le Covid est disponible en France (sur Doctolib) à partir de 6 mois d'âge. Une mise à jour, approuvé aux USA le 13 septembre 2023, sera mise sur le marché European rapidement.

 

VACCIN ANTIROTAVIRUS

 

Ce vaccin est conçu pour protéger vos jeunes enfants d’une forme particulièrement sévère de diarrhée provoquée par un virus, le rotavirus.

 

Deux vaccins sont commercialisés : Rotateq et Rotarix. Les deux vaccins sont comparables en sécurité d’emploi et en efficacité, toutefois le vaccin Rotarix comporte deux doses et le vaccin Rotateq en comporte trois. Le vaccin Rotarix est habituellement donné à l’âge de deux et quatre mois ; la dernière dose doit être donnée à l’âge de huit mois. Le vaccin antirotavirus n’est pas recommandé en routine en France, principalement en raison de contraintes financières. Il peut réduire le risque de développer une maladie cœliaque chez des enfants prédisposés.

Les deux versions du vaccin antirotavirus sont sûres et recommandées aux États-Unis, en Angleterre, Allemagne, et beaucoup d'autres pays.

 

 

VACCIN CONTRE LA ROUGEOLE, LES OREILLONS, LA RUBÉOLE OU VACCIN ROR

 

La première injection a lieu lorsque votre enfant est âgé de 12 à 15 mois et la seconde entre l’âge de 16 et 18 mois (en France). Il y a eu (et encore aujourd'hui) des épidémies aux USA et en Europe lié au non ou sous- vaccination.

 

En november 2019 deux études ont démontrées qu'une infection avec la rougeole peut reduire ou éliminer une protection antérieure contre *d'autres* virus et bactéries.

 

On a observé une épidémie de rougeole en France de 2007 à 2011, et encore en 2018, en raison d’une sous-vaccination.

 

Des rumeurs sur l’Internet lient la vaccination ROR à l’autisme. Au cours de la dernière décennie, quatre études majeures ont été réalisées et elles n’ont pas montré de liens scientifiques entre ce vaccin et la survenue de problèmes sur le plan du développement pour l’avenir. De plus, le 6 février 2010, le journal le « Lancet » a retiré le seul article scientifique qui créait un lien entre le vaccin ROR et l’autisme. L’auteur, le docteur Andrew Blakefield avait falsifié ses données. Il avait aussi fait le nécessaire pour obtenir un brevet avec une seule vaccination (rougeole uniquement), cet article servait ses propres intérêts financiers. Une mise à jour figure dans un article « Autism Fraud », une fraude sur l’autisme, publié le 12 janvier 2011 dans l’International Herald Tribune.

 

 

VACCIN ANTIDIPHTÉRIQUE - ANTITÉTANIQUE ET ANTICOQUELUCHEUX (DTaP)

 

La coqueluche est une maladie dangereuse pour les jeunes enfants. Plusieurs années en arrière, des interrogations ont été soulevées sur les effets indésirables du vaccin, notamment des convulsions. Ce risque est maintenant très faible avec le nouveau vaccin acellulaire ; néanmoins, informez votre médecin si votre enfant présente des troubles convulsifs ou si ce type de trouble existe dans votre famille.

 

Le risque d’avoir une coqueluche et de décès lié à cette maladie est beaucoup plus important que les effets indésirables possibles du vaccin. Un enfant qui n’a pas été immunisé contre la coqueluche a « une chance » sur 3000 de l’attraper. En revanche, un enfant qui a reçu le vaccin a « une chance » sur 2 millions de présenter des lésions neurologiques liées à cette vaccination.

 

Le risque pour les enfants d’attraper la coqueluche augmente si moins d’enfants sont immunisés. L’académie américaine de pédiatrie recommande un rappel à l’âge de 11- 12 ans. Ce vaccin est obligatoire pour intégrer les écoles françaises.

 

En France, un rappel à l’âge de quatre à six ans n’est pas nécessaire comme aux États-Unis, bien que la plupart des enfants reçoivent ce rappel avec leur vaccin DTP. Le calendrier vaccinal français recommande un rappel à l’âge de 11 ans et à nouveau à l’âge de 26 - 28 ans, ce dernier rappel étant pratiqué pour immuniser les parents afin de réduire la transmission de la maladie à leurs enfants. De plus, n’existe pas encore de recommandations américaines.

 

En 2013, la HAS (Haute Autorité de Santé) a recommandé un rappel contre la coqueluche à chaque grossesse chez les femmes adultes.

 

VACCIN ANTIHEMOPHILUS INFLUENZAE DE TYPE b (Hib)

 

Haemophilus influenza est une bactérie qui entraîne plusieurs maladies potentiellement mortelles chez le jeune enfant, telles que la méningite, l’épiglottite et la pneumonie. Avant que le vaccin soit disponible aux États-Unis, plus de 10 000 enfants développaient une méningite à hémophilus annuellement. Environ 500 d’entre eux mourraient et 3800 présentaient comme séquelle de la maladie un retard mental, devenaient aveugles, sourds ou infirmes moteurs cérébraux. Grâce au vaccin, l’infection à Haemophilus influenzae de type B est rare aux États-Unis.

 

Sachez que le vaccin Hib ne protège ni contre la grippe ni contre les méningites provoquées par des virus.

 

VACCIN ANTIPOLIOMYÉLITIQUE

 

Le vaccin antipoliomyélitique (vaccin contre la polio ou vaccin antipolio) protège les enfants de cette maladie rare maintenant mais très invalidante.

Actuellement il y a une recrudescence de polio, notamment en Israel et en Syrie.

 

VACCIN ANTIPNEUMOCOCCIQUE

 

Le pneumocoque est une bactérie qui, tout comme l’Haemophilus de type B, peut entraîner des infections sanguines graves, des méningites, des infections articulaires et osseuses, mais aussi des infections de l’oreille. Le vaccin antipneumococcique disponible pour les bébés existe aux États-Unis depuis l’an 2000. Il est administré avec toute la série d’injections de base, au total quatre fois au cours des 15 premiers mois de vie, mais uniquement à trois reprises en France.

 

VACCIN ANTIHÉPATITE B (HEP B)

 

Votre enfant doit recevoir au total trois injections contre l’hépatite B. La vaccination contre l’hépatite B prévient ce type d’hépatite et les lésions hépatiques graves qui peuvent survenir 20 ou 30 ans après la primo infection (première infection que la personne contracte). Plus de 5000 adultes meurent chaque année aux États-Unis d’un cancer du foie ou d’une cirrhose liée à l’hépatite. Plus l’enfant est jeune lors de la primo-infection plus le risque de problème grave est important.

 

Si vous avez un enfant qui n’a pas été vacciné bébé contre l’hépatite B, demandez à votre médecin si la vaccination est nécessaire.

 

Au cours de ces dernières années en France des interrogations ont été soulevées à propos un lien possible entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques. Une étude française a montré une absence de lien chez l’enfant et le ministère de la santé français a réaffirmé que le vaccin doit être administré, notamment eu égard aux 2500 décès annuels par hépatite B en France.

 

VACCIN CONTRE LA VARICELLE

 

En France, le vaccin n’est pas recommandé en routine ; toutefois, la vaccination est préconisée si votre enfant aborde l’adolescence et n’a jamais eu la maladie.

 

Le vaccin contre la varicelle est habituellement administré aux USA entre l’âge de 12 et 18 mois et il peut être administré à des enfants plus âgés s’ils n’ont pas encore reçu le vaccin ou eu la maladie. Des enfants de 13 ans ou plus devraient recevoir deux doses à quatre semaines d’intervalle au moins.

 

VACCIN ANTIHÉPATITE A

 

Le vaccin contre l’hépatite A est maintenant universellement recommandé aux États-Unis depuis 2007. En France, il est recommandé pour les patients à risque élevé, notamment les personnes qui voyagent dans des pays en voie de développement. L’hépatite A, que l’on peut attraper en consommant de l’eau ou de la nourriture contaminée, est une maladie fréquente dans les pays en voie de développement. La vaccination comporte deux injections à six mois d’écart au moins. La vaccination peut être administrée après l’âge de 12 mois, mais pour réduire au maximum le nombre d’injections lors d’une consultation, le Docteur Lovejoy l’administre habituellement à 18 et 24 mois. Il peut aussi être combiné avec le vaccin de l’hépatite B (une seule piqure).

 

 

VACCIN ANTI-MENINGOCOCCIQUE

 

Le méningocoque est un des types de bactéries qui peut provoquer une méningite. En France, il existe plusieurs vaccins anti-méningococciques.

 

Les recommandations américaines stipulent que la combinaison A,C,Y, W135 doit être donnée aux enfants lors de la visite des 11-12 ans, avant l’entrée au lycée ou avant le collège (université américaine) dans le cas où l’enfant n’a pas encore été vacciné. Ce vaccin est produit et commercialisé en France depuis avril 2010 et s’appelle Menveo. En 2011, une dose de rappel a été ajoutée au calendrier vaccinal américain. Une fois la dose de rappel administrée la protection est considérée comme durant toute la vie.

 

Le vaccin contre la méningite C, seule, a été recommandé de façon universelle en France en 2017 à 5 et 12 mois d'âge. Il ne donne que trois ans de protection.

 

Il existe aussi un vaccin contre les méningites A+C qui ne donne que trois ans de protection.

 

Un pourcentage significatif de méningites chez les bébés et les enfants est provoqué par le méningocoque de type B, voire trois fois plus que le méningocoque de type C. Néanmoins, ce vaccin, Bexero, n'est pas sur the calendrier français. 

 

 

VACCIN ANTIVIRUS DU PAPILLOME HUMAIN (VPH)

 

Ce vaccin, dénommé Gardasil, est conçu pour prévenir l’infection par le virus du papillome humain (VPH), la principale cause de cancer du col de l’utérus. C’est le premier vaccin anticancéreux dans l’histoire. Il est recommandé à l’âge de 11-12 ans avant le début de toute activité sexuelle. Il est un peu plus efficace lorsqu’il est administré dans cette tranche d’âge que pendant les années d’adolescence ultérieures ; il n’est pas efficace lorsqu’il est administré après le début d’une activité sexuelle significative. Il comporte trois injections en six mois. Il a reçu l’autorisation de mise sur le marché le 23 novembre 2006 France. C’est actuellement un vaccin cher, mais si vous êtes dans le système de santé français vous obtiendrez un remboursement de 65 %.

 

Au printemps 2008, un second type de vaccin a été commercialisé mais sa couverture est moins importante que Gardasil qui est donc le meilleur choix.

 

Au printemps 2012, les recommandations américaines se sont étendues aux garçons de 11 ans et plus. En décembre, 2019, la Haute Autorité de Santé (HAS) en France a formellement recommandé ce vaccin pour les garçons.

 

L’idée est de protéger les hommes de la maladie mais aussi de réduire la transmission asymptomatique à une partenaire féminine. En effet, l’infection à VPH est souvent asymptomatique dans les deux sexes.

 

Malgré des questions posées dans les médias, la sécurité de ce vaccin, déjà donné 56 millions de fois aux USA, n'est pas mise en cause scientifiquement.

 

VACCIN ANTIGRIPPAL

 

[VOIR LE LIEN SÉPARÉ SUR LA GRIPPE POUR LES INFORMATIONS ACTUALISÉES]

 

La grippe peut toucher tout le monde et les épidémies de grippe surviennent pendant les mois d’hiver pratiquement tous les ans. La grippe est transmise par la toux et des éternuements et est hautement contagieuse en particulier dans les centres qui s’occupent des enfants, dans les écoles et chez les personnes âgées dans les maisons de retraite. La grippe survient généralement brutalement, les symptômes comportent des douleurs musculaires, de la fièvre, des frissons, des céphalées, de la toux et le nez qui coule. Les jeunes enfants peuvent développer un croup (une laryngite striduleuse). La complication la plus fréquente de la grippe est la pneumonie. La myocardite (inflammation du cœur) et l’aggravation de maladies pulmonaires chroniques peuvent aussi être les conséquences d’une grippe.

 

Le vaccin est administré tous les ans en raison du changement de souche observé tous les ans. Les enfants de moins de huit ans, doivent recevoir le vaccin à deux reprises la première année. Pour les enfants de moins de trois ans, une demi-dose est administrée à chaque fois. Le vaccin est disponible en France sans ordonnance (sans prescription du médecin), habituellement dès la mi-octobre. À moins qu’il y ait une épidémie en cours, nous arrêtons habituellement de vacciner fin janvier, mais le vaccin peut être administré pendant tout le mois de d’avril. Les enfants allergiques à l’œuf ne doivent généralement pas recevoir le vaccin. L’académie américaine de pédiatrie a élargi cette recommandation en août 2008 pour inclure tous les enfants de six mois à 18 ans. En France, cette vaccination n’est pas recommandée de façon universelle en raison de contraintes financières, sauf pour les enfants qui ont des antécédents de troubles pulmonaires à type de sifflements asthmatiformes, d’asthme ou une pathologie cardiaque. Depuis novembre 2008, il est recommandé de vacciner les familles qui vivent avec des enfants âgés de moins de six mois. L’académie américaine de pédiatrie recommande aussi la vaccination de la totalité de la famille si elle a un enfant à risque élevé, ou un enfant âgé de moins de cinq ans. Si l’un de vos enfants présente de l’asthme ou des bronchiolites, il est recommandé fortement de le vacciner tous les ans, quel que soit son âge ainsi que toute la famille.

 

 

BCG

 

Ce vaccin n’a jamais été recommandé aux États-Unis. Il n’empêche pas une personne « d’attraper » la tuberculose et mais est efficace pour prévenir les formes sévères de tuberculose chez le jeune enfant. Une fois l’enfant vacciné, le risque est que les tests cutanés pratiqués au retour aux États-Unis soient positifs, ce qui nécessite de prendre des médicaments pendant neuf mois.

 

Depuis juillet 2007, le BCG n’est plus obligatoire en France mais toujours recommandé pour les enfants à risque. Parlez avec le docteur Lovejoy des avantages et inconvénients de ce vaccin.

 

 

RAISONS POUR NE PAS VACCINER

 

Si l’une de ces pathologies s’applique à votre enfant, parlez à votre médecin avant toute vaccination.

 

1. Votre enfant a eu une réaction allergique à une précédente vaccination.

 

2. Votre enfant fait des convulsions ou a des lésions neurologiques graves.

 

Le vaccin (DTaP) contre la coqueluche ne doit pas être administré à un enfant qui a des convulsions ou une maladie neurologique grave. Par contre, pouvez toujours faire vacciner votre enfant par le vaccin (Td) contre la diphtérie et le tétanos qui ne contient pas le vaccin contre la coqueluche.

 

3. Votre enfant à un mauvais système immunitaire

 

Les enfants qui présentent un système immunitaire faible ne doivent pas recevoir de vaccins vivants (comme par exemple le vaccin contre la varicelle, le vaccin MMR ou le vaccin antirotavirus). Ces enfants doivent être vaccinés par le vaccin polio inactivé injectable pour l’ensemble des quatre doses administrées. En effet, le vaccin vivant antipoliomyélitique par voie orale comporte un petit risque de déclencher ou de transmettre une poliomyélite chez les enfants dont l’immunité est faible ou qui vivent avec des adultes immunodéprimés (par exemple avec des personnes atteintes du sida).

 

4. Votre enfant a une allergie à l’œuf.

 

En 2013, les recommandations françaises ont été modifiées: les enfants qui présentent une allergie grave à l’œuf PEUVENT recevoir le vaccin contre la grippe ou contre la fièvre jaune, mais sous la direction d’un allergologue. Les enfants qui sont allergiques à l’œuf peuvent recevoir toutes les autres vaccinations pratiquées en routine. Les vaccins contre la rougeole et les oreillons sont fabriqués sur des cellules embryonnaires de poulet, mais les protéines de l’œuf sont retirées de ces vaccins et ils peuvent être administrés à votre enfant sans avoir à pratiquer un test cutané chez lui pour rechercher une allergie à l’œuf.

 

 

LES RAISONS INJUSTIFIÉES POUR NE PAS VACCINER

 

Beaucoup d’enfants n’ont pas reçu l’ensemble des vaccins recommandés. Des précautions inutiles ont conduit les parents à retarder ou à annuler les vaccinations selon le calendrier vaccinal. En avril 1989, le service de santé américain (U.S. Public Health Service) a publié la liste des motifs qui NE SONT PAS une raison pour retarder ou annuler les vaccinations. Donc un enfant peut toujours être vacciné même dans les cas suivants :

 

L’enfant a présenté une douleur, rougeur ou un gonflement au site d’injection après avoir reçu préalablement une injection du vaccin DTaP.

L’enfant a eu une fièvre inférieure à 40,5°C (105°F) après avoir reçu une injection préalable du vaccin DTaP.

L’enfant présente une maladie légère telle qu’un rhume de la toux ou une diarrhée sans fièvre.

L’enfant a eu une maladie légère telle qu’un rhume, de la toux ou une diarrhée.

L’enfant a récemment été exposé à une maladie infectieuse.

L’enfant est sous antibiotiques.

L’enfant était prématuré.

La mère de l’enfant est enceinte.

L’enfant est nourri au sein.

L’enfant a des allergies (sauf s’il s’agit d’une allergie à l’œuf).

 

On retrouve dans la famille de l’enfant des antécédents de convulsions ou de mort subite du nourrisson.

 

 

DES QUESTIONS A PROPOS DE LA SECURITE DES VACCINS ?

 

Demander au Docteur Lovejoy de vous communiquer des liens vers différents sites Internet ou acheter le livre en anglais « Do Vaccines Cause That? » A Guide For Evaluating Vaccine Safety Concerns, écrit par Martin Meyers et Diego Pineda.